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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 10:15

I. Conseils pratiques

 

1) À ne jamais faire :

 

- Chercher à TOUT prendre en notes

- Bavarder (ou se trouver à proximité des bavards)

- Manquer de matériel (stylos, règle...)

- Recopier les notes de quelqu’un d’autre

 

2) À faire absolument :

 

- Bien ECOUTER avec attention le cours cela permet une première mémorisation (donc 50 % de travail en moins à la maison) et permet de prendre des notes avec efficacité

- Faire attention aux changements dans le rythme du cours

- Faire attention aux gestes du professeur (déplacement vers le tableau...)

- Regarder le tableau quand des choses importantes y sont notées.

 

II. Quelques techniques de prise de notes 

 

1)   Respecter les règles de présentation 

 

- Laisser la marge du cahier libre pour des annotations: compléments du cours trouvés dans des livres, définitions, conseils de méthode, référence des documents utilisés...

- Mettre en évidence le plan du cours en hiérarchisant les titres des parties et des sous parties

- Souligner et/ou écrire les grands titres en rouge et les sous titres en vert pour bien faire la différence.

- Toujours garder le même code couleur pour le plan (titre, sous-titre…)

- Aérer au maximum votre cours en passant des lignes: il sera plus clair et donc plus facile à apprendre.

- A chaque nouvelle idée, il faut aller à la ligne.

 

2) Utilisation de symboles :

 

Vous connaissez les plus courants. Des règles sont cependant à observer :

- Utiliser toujours les mêmes symboles. Au début il faut faire un lexique de vos abréviations pour utiliser toujours les mêmes et ne pas être "bloqué" dans l'apprentissage des leçons par une abréviation dont vous avez oublié le sens!!!    

- Ne pas TOUT symboliser

- Utiliser des symboles compréhensibles (ex : « a » pour aéroport n’a pas de sens !)

- Ne jamais utiliser de symboles dans les devoirs (seulement dans le cahier !)

 

3) Utilisation d’abréviations :

 

Il s’agit de réduire des mots qui existent. Il ne s'agit en aucun cas d'écrire de manière illisible! 

Ex : département -> dpt.

 

 Il y a là également des règles à observer :

- Ne pas réduire TOUS les mots; en particulier les noms propres

- Utiliser des abréviations compréhensibles

 

   ¯    diminution (fleche vers le haut = Augmentation/ croissance) 

Ü  Cause                                 Þ  conséquence

ó  Lié à                                  !    attention

+   plus/et                                -    moins

/    Divisé/par                        Tjrs = toujours

X    multiplié                            Î    appartient à

>   Supérieur                          <    inférieur

Rq = remarque                     Intro = Introduction

m = même                             pr  = pour    

in = dans                             nbre = nombre

Mots se terminant en –ent ® __t

Mots se terminant en –tion ®

   

Pour réussir à vous familiariser à cette nouvelle technique :

Ø        Essayez de vous exercer le plus souvent possible à cette technique

Ø        Faites des exercices à la maison (en regardant le journal télévisé, en écoutant la radio...)

Ø        N’hésitez pas à demander l’aide de vos professeurs (toutes les disciplines sont concernées)

 

4) Technique du résumé immédiat :

 

Technique très difficile mais aussi très efficace. Elle réclame un entraînement quotidien.

Il s’agit de résumer de façon simultanée ce que dit le professeur en faisant des phrases beaucoup plus courtes sans en détruire le sens.

Par exemple:

quand le professeur dit :"comme le livre nous le montre, il y avait beaucoup de météques à Athènes".

Il faudra prendre en notes :" Athènes = métèques nombreux ".La première partie de la phrase étant inutile.

ou encore: "Athènes = métèques ++".

Si tout le chapitre ne parle que d'Athènes et que donc vous savez implicitement que c'est de cette cité dont on parle, vous pouvez écrire: "métèques ++". Mais il ne faut alors aucun doute sur le lieu!

 

 

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 10:09

Faire une fiche de cours en histoire géographie

 

Qu’est-ce qu’une fiche ?

 

La fiche, c’est une prise de notes perfectionnée. Elle a pour but de transformer votre cours en un résumé intelligent. Vous allez construire un résumé méthodique, épuré et mis en couleurs, de vos cours. Elle va vous permettre de résumer et d’organiser votre prise de notes et évidemment de simplifier votre travail et vos révisions.

 

RESUMER le cours c’est se l’approprier. En reformulant plus simplement on comprend et on apprend.

ORGANISER les notions c’est permettre une mémorisation plus facile et plus rapide.

PRESENTER ses fiches c’est là aussi permettre d’apprendre plus vite et plus efficacement.

 

Bien sûr cela représente un vrai travail. Il va falloir trier, sélectionner, mettre en couleurs. Mais le « retour sur investissement » est à la hauteur : faire une fiche, c’est déjà réviser et engranger des données intelligemment. De préférence, il faut commencer à faire des fiches dès la classe de seconde pour s’entrainer et que cela devienne un automatisme.

 

Les règles d’or

 

La fiche est courte ! Reprendre le cours sur 15 fiches bristol est inutile ! On résume le contenu, on utilise un style télégraphique : phrases courtes, flèches, schémas, mots clés, dates essentielles…Attention à l’orthographe des mots clés et des noms !

Une fiche ne se rédige pas en 5 minutes dans le bus, mais demande du temps et de la concentration.

La fiche doit reprendre la colonne vertébrale de votre cours : le plan doit apparaître d’un coup d’œil, les articulations et conclusions également.

Comme elle est généralement petite et toujours efficace (évitez les feuilles A4, il faut pouvoir la transporter partout sans l’abimer ou la plier!), vous l’aurez à portée de main, un dernier coup d’œil dans le couloir, c’est toujours rassurant. Et on n’écrit que d’un côté pour tout visualiser en une seconde.

Les exemples sont obligatoires ! Une composition sans exemples concrets ne peut pas être une bonne composition, même si toute la « théorie » y est !

 

Une fiche doit être claire et bien mise en pages

 

Il n’est pas question de privilégier la forme sur le fond. Choisissez le modèle de fiche qui vous correspond et une fois que vous l’avez trouvé, n’y touchez plus pour bien fixer les repères dans votre mémoire : jouez des couleurs (stylos, feutres, Stabilo boss, couleur de fiche), encadrez, faites des flèches, des schémas.

Attention quand même à doser : trop de couleurs tue l’effet et il n’y a pas moins lisibles que des phrases tout en capitales par exemple.

N’oubliez pas de numéroter les fiches et de réinscrire le titre du chapitre en petit et abrégé sur chaque fiche. Vous serez content de ce travail si vous renversez touts vos fiches par terre et qu’elles se mélangent (ce qui arrive souvent) !

 

Une fiche est utilisée régulièrement !

 

Classez-les, gardez-les à portée de main, complétez-les et surtout… ne les commencez pas à trois semaines de l’épreuve ! Il faut commencer les fiches en même temps que vous traitez le chapitre en classe ou au pire juste après. N’attendez pas !

 

Vous pouvez en plus vous faire un petit cahier de vocabulaire (format petit répertoire) et jouer à vous questionner sur les définitions avec vos camarades, parents, amis, inconnus dans le bus…. Enfin bref avec qui veut bien faire ce quizz avec vous !

 

N’oubliez pas que vous pouvez me montrer vos fiches pour que je vous donne éventuellement des conseils !

Cependant, une fiche est personnelle, elle est faite par vous et pour vous et pas pour être lue par tout le monde. L’important c’est que vous vous y retrouviez !

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 19:47

Le langage cartographique

Pour bien se comprendre, il faut parler le même langage!
Voyons en quoi consiste le langage cartographique:

• Toutes les informations représentées sur une carte, un croquis ou un schéma sont traduites par des figurés du langage cartographique.
• Le langage cartographique est composé de 4 grands types de figurés : les plages colorées (ou figurés de surface), les figurés ponctuels, les traits et les flèches.
• La connaissance des figurés du langage cartographique est indispensable pour : lire des cartes, réaliser des croquis et réaliser des schémas.

   langage carto2
source: geolycée Magnard

 
Sachez enfin que tous les planisphères ne sont pas obligatoirement européocentrés (centrés sur l'Europe).
Jetez un oeil à
ce blog de cartographie pour en savoir plus!

D'autres liens de cartographie à venir...

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 18:40

COMMENT FAIRE UN BON CROQUIS EN GEOGRAPHIE ?

 

I- Le matériel à utiliser et à bannir

 

1°) A bannir absolument:

- Le crayon à papier, les feutres pour le coloriage. Les feutres ne servent que pour les figurés ponctuels, les figurés linéaires types flèches pour les flux et éventuellement pour les hachures.

- Le stabilo, les stylos à paillette ou doré et autres fantaisies (hein les filles ?)

- Le stylo plume à encre, sauf éventuellement pour la partie rédigée de la légende, mais pas sur le croquis, sauf si il est noir et que vous écrivez très proprement avec ! si votre stylo à encre est bleu vous pouvez éventuellement vous en servir pour la nomenclature des cours d’eau (à condition de ne pas « baver » en écrivant !).

- Le correcteur blanc, c’est généralement très sale sur un croquis. Si vraiment vous avez besoin de corriger une erreur, utilisez plutôt les bandes de correcteur blanc qui s’utilisent avec un dérouleur, c’est plus propre. Mais attention c’est très difficile de redessiner sur du correcteur, donc ça se voit !

 

2°) A utiliser

- Des feutres à pointe calibrée (0,5) ou stylos type roller, à encre noire ; un rouge ; un bleu éventuellement pour la nomenclature des rivières, fleuves, lacs océans et autres plan d’eau.

- Des crayons de couleur en bon état, ni trop gras, ni trop secs, correctement taillés…et de couleurs variées, à réserver pour les à plats.

- Des feutres à pointe fine, en bon état pour les flux et de couleurs variées eux-aussi, à réserver pour les symboles et pour les figurés de type hachures ou pointillés.

 

II- Les qualités d’un bon croquis

 

1°) Il doit être lisible :

- Les principaux phénomènes doivent apparaître au premier coup d’œil ; un bon croquis est clair .

- Le croquis ne doit être ni surchargé ni indigent pour avoir du sens

- Il doit hiérarchiser des espaces et utiliser des procédés graphiques pour l’exprimer : le « tout pastel » est à bannir

- Mon conseil : investissez dans un normographe au moins à partir de la classe de 1ère!

 

2°) Il doit être démonstratif

- Il sert à mettre en valeur, à prouver, à démontrer, en utilisant les procédés graphiques appropriés

- Il faut à la fois décrire le phénomène et aussi l’expliquer par un certain nombre de facteurs à choisir (naturels, historiques, de transports…)

 

3°) Il doit être précis pour ce qui concerne les localisations

- Les localisations doivent être précises, qu’il s’agisse des lieux ou des espaces

- Il faut éviter toute approximation

 

4°) Il doit être esthétique

- Le croquis doit évidemment être propre ; mieux encore il doit être soigné; l'aspect esthétique ne fait pas tout, certes, mais il est extrêmement important pour le correcteur

- Le choix des symboles et surtout des couleurs est donc particulièrement important.

 

III- Les éléments du croquis

N’oubliez jamais « TOLE » : Titre, Orientation, Légende, Echelle

 

Le titre : en haut ou en bas de page.

L’échelle et l’orientation : sont portés sur le fond de carte

La légende : elle doit être structurée

La légende :

- Elle doit être construite avant de réaliser le croquis puisqu’elle en constitue l’architecture

- Elle doit être ordonnée pour répondre à la problématique du sujet, construite et réalisée comme un plan détaillé de dissertation

* Voir fiche dissertation, rubrique plan détaillé. Votre travail au brouillon doit être le même

* Questionner le sujet, en définir le contenu et les limites, dégager 2, 3 grandes idées-forces qui répondent à la problématique posée pour articuler la légende autour d’elle. Structurer aussi chacun des paragraphes en sous paragraphes, le cas échéant.

- Ne JAMAIS réaliser la légende au dos du croquis !!! Le correcteur doit pouvoir regarder les 2 en même temps….attention cette erreur peut faire perdre beaucoup de points !!!

 

La nomenclature : c’est l’ensemble des noms qui figurent sur la carte.

- Il faut renseigner la carte en y portant un certain nombre de noms :

* Noms des pays limitrophes,

* Noms des fleuves, des mers et océans,

* Noms des grandes régions et des villes

- Les noms s’inscrivent très lisiblement et horizontalement à quelques exceptions près :

* Inscrire le nom des fleuves le long de ceux-ci

* Inscrire le nom des régions selon leur forme et leur orientation : si une montagne est méridienne, inscrire son nom verticalement, de bas en haut (Rocheuses, Oural, Alsace…)

- Eviter de surcharger la carte :

* Placer les noms au maximum en dehors de la zone cartographiée (utiliser mers et océans, pays limitrophes…)

* Utiliser des abréviations pour les villes (NY pour New-York ) avec report et explication en légende

- Utiliser l’écriture script

* Ecriture minuscule pour certains phénomènes (les régions par exemple)

* Ecriture majuscule pour d’autres (les villes par exemple)

 

IV- Le langage cartographique

 

1°) Principes à respecter

 

a) La spécificité :

- Représenter des faits de même nature par des figurés de même nature,

- Représenter des faits proches par des figurés proches

 

b) La proportionnalité

- La dimension des symboles ou l’intensité des couleurs doit être proportionnelle à l’importance du phénomène étudié

 

2°) Les types de signes

 

a) Les symboles

1. Les figurés ponctuels

- Pas de symboles figuratifs (donc ne dessinez pas une maison, une église ou des bateaux !)

- Uniquement des symboles géométriques : carrés, cercles, triangles, losanges, barres, demi-cercles

2. Les figurés linéaires

- Les traits de divers types : continus, tirets, pointillés, pour figurer des limites par exemple

- Les flèches, pour figurer les flux

 

b) Les plages ou figurés de surface

- Les phénomènes qualitatifs : s’efforcer d’utiliser des couleurs proches des phénomènes quand c’est possible

* Préférer les jaunes ou orange pour des céréales, le rouge ou le violet pour la vigne et par extension pour les cultures délicates irriguées et intensives, le vert pour les prairies, les cultures fourragères et l’élevage

* Couleurs chaudes pour régions chaudes, couleurs froides pour régions froides

* Teintes tristes pour régions en déclin (gris marron), teintes vives pour les régions dynamiques

- Les phénomènes quantitatifs : variation de l’intensité de la couleur, du clair au foncé en fonction de l’importance du phénomène étudié

* Gamme des teintes chaudes (jaune, orange, rouge, violet)

* Gamme des teintes froides (vert, bleu, violet)

* Dégradé d’une même couleur, du clair au foncé

* Gamme noir et blanc, à partir de pointillés et hachures avec deux méthodes pour foncer : soit rapprocher, densifier les traits ou les points, soit les épaissir, soit les deux simultanément.

 

c) La superposition des couches

- Possibilité de superposer plusieurs couches aux significations différentes

- Exemples :

* superposition d’une couche en hachures au feutre sur une couche en à plats au crayon de couleur

* superposition de symboles sur l’ensemble.


On commence donc toujours par dessiner les figurés de surface avant les figurés ponctuels, ce qui implique donc d’avoir bien réfléchit à sa légende au brouillon avant de se lancer !!!

 

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 18:37

LES ENJEUX DU RECIT DANS L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE


Le récit historique


C’est une production spécifique
:

‐ Le récit historique est fondé sur une problématique. On pose une question, on effectue une mise en intrigue, on dégage une hypothèse initiale. L’historien fait un choix.

‐ Le récit historique s’appuie sur des preuves. On procède à une analyse critique des documents qu’on a préalablement élus au statut de documents. On ne valide ensuite que le vrai, même si ce « vrai » n’est pas absolu, contrairement au récit littéraire qui accueille le vraisemblable ou même l’imaginaire.

‐ Le récit historique est explicatif, argumentatif et interprétatif. On ne fait pas que de « raconter des histoires » même si le récit factuel est possible. Le récit historique rend intelligible des traces du passé ; il reconstruit le passé.

‐ Le récit historique est bardé de références. Références à d’autres historiens, références à des sources, l’historien n’est pas seul.

‐ Le récit historique assume sa part fictionnelle. Quand on reconstruit le passé, il y a des « blancs »… qu’on laisse en blanc ! On peut évoquer en faisant imaginer à condition que ce soit explicite, mais on s’interdit les représentations fausses.

 

C’est une « mise en langage » spécifique :

‐ Le récit historique a une cohérence structurelle. On choisit un découpage chronologique, on élabore une argumentation fondée sur une mise en relation de documents, de notions et de références : tout bavardage est exclu.

‐ Le récit historique utilise un vocabulaire précis et des notions spécifiques. La notion est l’outil intellectuel indispensable pour parvenir à l’abstraction. Le récit est un aller retour incessant entre le concret et l’abstrait, entre le document, la généralisation et la conceptualisation. Pas de récit sans notion ; même en 6ème l’apprentissage de l’abstraction est fondamental.

‐ Le récit historique à ses propres codes d’énonciation. Le texte produit est objectivé et le je disparaît au profit du on ou du nous. Le temps du récit historique est le passé ou le présent historique à condition qu’il ne laisse pas de place au futur.

 

Au collège :

‐ Etre capable de s’exprimer dans une langue correcte.

‐ Etre capable d’utiliser les documents sur le sujet.

‐ Etre capable d’ajouter des connaissances (cours) sur le sujet.

‐ Etre capable de construire un récit historiquement cohérent.

 

Au lycée :

‐ Etre capable de présenter la problématique dans une phrase introductive.

‐ Etre capable de structurer le récit à partir de quelques idées force dégagées de l’ensemble documentaire.

‐ Etre capable de construire un texte démonstratif et argumentatif (alternance documents/éléments du cours/notions/dates…)

‐ Etre capable de conclure par une phrase de synthèse (et d’ouverture)

‐ Etre capable d’utiliser un vocabulaire spécifique et notionnel.

‐ Etre capable de respecter les codes de la narration historique.

 
source: académie de Versailles

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 17:32

Développer l'idée

Préciser et illustrer

Introduire les conséquences

Indiquer les causes

Opposer à l'idée

Conclure

Aussi -
d'autre part -
de même - de plus
également -
encore, en outre -
quant à -
par ailleurs -
puis - ensuite
- et

Ainsi

c'est-à-dire

notamment

par exemple

Conseil : ne pas hésiter à placer des exemples courts en rapport avec le sujet

ainsi

aussi

c'est pourquoi

dés lors

donc

en conséquence

car

parce que

puisque

 

Conseil : ces mots peuvent aussi servir à apporter des preuves

Cependant

mais

néanmoins

pourtant

toutefois

 

Conseil de l'Académie française: ne pas dire «par contre» mais dire «en revanche».

ainsi

donc

en bref

en définitive

en résumé

finalement

pour conclure


Cette liste n'est pas exhaustive et peut être complétée avec votre professeur(e) de français par exemple.
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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 18:06
Voici la grille d'auto-évaluation distribuée en classe.
Vous devez l'utiliser et vous en "impregner" pour réussir au mieux votre DNB!!
Attention, cette grille n'est pas exhaustive, il est toujours possible de l'améliorer en rajoutant des éléments.


GRILLE D’AUTO – EVALUATION

Cochez les cases oui/non  en fonction de ce que vous estimez de votre devoir. S’il y a des cases « non » cochées il faut corriger l’élément correspondant dans le devoir !

 

OUI

NON

 

LA METHODE

 

J’ai pris le temps de regarder et de lire TOUS les documents avant de commencer le devoir?

 

 

J’ai réfléchi à chaque mots du sujet au brouillon pour bien le délimiter dans l’espace et dans le temps (ce qui évite le hors-sujet) ?

 

 

J’ai utilisé un brouillon pour mettre mes idées en ordre (plan etc.) avant de rédiger

 

 

J’ai fais attention à ne pas tout dire dans les réponses aux questions pour ne pas  trop me répéter au paragraphe argumenté ?

 

 

J’ai pensé à définir chaque mot de vocabulaire important?

 

 

 

LES PARTIES

 

Une introduction ?

 

 

Une problématique (question) qui reprend le sujet ?

 

 

Plusieurs parties (2 ou 3) distinctement différenciées (en allant à la ligne) ?

 

 

Une conclusion ?

 

 

La conclusion répond à la problématique de l’introduction ?

 

 

 

LE CONTENU

 

Chaque partie développe une idée importante ?

 

 

Plusieurs arguments soutiennent une idée principale ?

 

 

Un vocabulaire précis est utilisé (notion, mots clés) ?

 

 

Tous les documents sont utilisés ?

 

 

Les idées sont reliées entre elles et classées ? (pas toutes mélangées sans logique de plan !)

 

 

La paraphrase est évitée (longues citations du texte sans explication) ?

 

 

Les connaissances personnelles sont-elles utilisées ?

 

 

Les connaissances personnelles sont-elles les plus précises possible et en rapport avec le sujet posé ?

 

 

 

 

LA PRESENTATION

 

Les phrases commencent par une majuscule et se terminent par un point ?

 

 

Je fais des phrases complètes (pas de tirets ou d’abréviations) ?

 

 

Je réponds aux questions en faisant des phrases qui reprennent les mots de la question ?

 

 

Les lettres sont correctement formées et les mots facilement déchiffrables ?

 

 

L’orthographe précise des mots et des noms du cours est respectée ?

 

 

Les phrases sont courtes (jamais de phrases de 2 lignes) ?

 

 

Les citations extraites des documents sont entre guillemets («  ») ?

 

 

Les noms propres commencent par une majuscule ?

 

 

J’utilise des mots de liaison (puisque, de plus, néanmoins, cependant, donc, en outre…) ?

 

 

Mon devoir est sans rature ?

 

 

Mon devoir est bien présenté et aéré ?

 

 

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 20:32
Les graphiques sont très utilisés en histoire - géographie, mais ils ne représentent pas tous la même chose.
On ne peut pas utiliser n'importe quel type de graphique.
Chaque type de graphique porte un nom précis qu'il convient de maîtriser (au moins pour les plus usuels).

Au Brevet des collèges
savoir présenter un document en donnant le nom exact d'un graphique peut valoriser une copie.

Par exemple on ne dit pas un graphique en "fromage" pour parler d'un graphique circulaire en secteur, et pourtant ce type de graphique est très présent dans nos manuels scolaires!

types de graphiques


















Voici quelques graphiques courants et leurs noms.
Pour aller plus loin cliquez ICI ou sur l'image qui vous enverra sur un site très détaillé.

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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 18:49

Comment apprendre ses leçons ?

 

Pour apprendre une leçon il faut :

·         Avoir un cahier bien rangé (pas de feuilles non colées), bien tenu, bien écrit : utiliser toujours la même couleur à chaque paragraphe, la même présentation pour les titres, sous-titres de façon à faciliter l'organisation de la pensée.

Exemple :

I- Grand titre  (en rouge)

  A) Sous titre   (en vert)

     1° Sous-sous titre  (en noir et la leçon en bleu, ou en bleu si la leçon est écrite en noir).

 

·         Si le cours n’est pas propre, le recopier proprement. Cela  permettra en même temps d’apprendre la leçon.

·         Vérifiez que les mots de vocabulaire sont correctement orthographiés, avec l’aide du livre si besoin (ou du cahier d’un camarade qui prend bien les leçons).

·         Etre dans un endroit calme, sans télé, sans musique, sans trop de passage ni de gens qui parlent. La musique (ou la télé) parasite les informations qui vont à votre cerveau et empêche une mémorisation en profondeur.

·         Ne pas stresser, se mettre au travail calmement.

 

Il y a plusieurs méthodes à chacun de trouver la sienne, mais voici quelques idées :

 

  • Etre attentif en classe, répondre aux questions du professeur et en poser soi-même. C’est la base ! Plus de la moitié de la leçon est assimilée avec une bonne attention en cours.
  • Travailler régulièrement, ne pas attendre la veille des contrôles ! L’assimilation se fait plus en profondeur et cela laisse le temps de poser des questions au professeur sur des points de cours non compris…
  • Apprendre le plan, (éventuellement le recopier) cela permet de bien organiser les idées et de comprendre la logique du cours et donc de plus facilement retenir les enchainements de faits.
  • Lire le cours plusieurs fois :
    • en essayant de le comprendre.
    • en regardant aussi les documents que nous avons utilisés pour faire le cours.
  • Essayer ensuite de le « re-raconter » avec vos propres mots, d’abord avec la leçon sous les yeux
  • Sur une feuille de brouillon, noter des questions à poser sur le cours, comme si vous vouliez faire une interrogation à quelqu'un. Trouve un maximum de questions ! Ensuite fermez le classeur et se posez les questions sur le cours. Il faut répondre en faisant des phrases, avec vos propres mots. Si vous ne savez pas répondre, tracez une croix devant la question et passez à la question suivante.
  • Ouvrez de nouveau le cahier, relisez le cours pour répondre aux questions auxquelles vous n’avez pas su répondre. Puis recommencez, jusqu'à ce que vous sachiez répondre à toutes les questions.
  • Ecrivez au brouillon les mots de vocabulaire afin de bien en maitriser l’orthographe ! (plusieurs fois si nécessaire).
  • Il peut être très utile de faire des fiches qui synthétisent les idées principales, les dates clés et les mots de vocabulaires. Attention à bien respecter les codes couleurs choisis cela aide à la mémorisation surtout pour ceux qui ont une mémoire visuelle.
  • Les définitions doivent être apprises très précisément et il faut que le sens soit compris pour éviter d’énormes contresens en cas d’oubli de quelques mots !
  • Si quelqu’un peut vous aider demandez-lui de vous poser des questions, le mieux est de réviser avec un(e) camarade de la classe.
  • Etre capable de refaire, rapidement les cartes, schémas et croquis de la leçon, ou de refaire une explication de texte, ou une étude de document en utilisant la méthode vue en cours.
    Tenir compte des remarques que le professeur note sur les copies de devoir et essayer d'améliorer ces points dans le devoir suivant.

 

Tout cela prend beaucoup de temps au début et demande de gros efforts, mais petit à petit les habitudes de travail se prennent et cela devient de plus en plus facile, jusqu’à devenir des automatismes ! Courage ! Il ne faut jamais baisser les bras et se dire qu’on y arrivera pas, au contraire il faut positiver au maximum. L’état d’esprit joue un grand rôle dans les apprentissages !
;-)

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