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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 18:40

COMMENT FAIRE UN BON CROQUIS EN GEOGRAPHIE ?

 

I- Le matériel à utiliser et à bannir

 

1°) A bannir absolument:

- Le crayon à papier, les feutres pour le coloriage. Les feutres ne servent que pour les figurés ponctuels, les figurés linéaires types flèches pour les flux et éventuellement pour les hachures.

- Le stabilo, les stylos à paillette ou doré et autres fantaisies (hein les filles ?)

- Le stylo plume à encre, sauf éventuellement pour la partie rédigée de la légende, mais pas sur le croquis, sauf si il est noir et que vous écrivez très proprement avec ! si votre stylo à encre est bleu vous pouvez éventuellement vous en servir pour la nomenclature des cours d’eau (à condition de ne pas « baver » en écrivant !).

- Le correcteur blanc, c’est généralement très sale sur un croquis. Si vraiment vous avez besoin de corriger une erreur, utilisez plutôt les bandes de correcteur blanc qui s’utilisent avec un dérouleur, c’est plus propre. Mais attention c’est très difficile de redessiner sur du correcteur, donc ça se voit !

 

2°) A utiliser

- Des feutres à pointe calibrée (0,5) ou stylos type roller, à encre noire ; un rouge ; un bleu éventuellement pour la nomenclature des rivières, fleuves, lacs océans et autres plan d’eau.

- Des crayons de couleur en bon état, ni trop gras, ni trop secs, correctement taillés…et de couleurs variées, à réserver pour les à plats.

- Des feutres à pointe fine, en bon état pour les flux et de couleurs variées eux-aussi, à réserver pour les symboles et pour les figurés de type hachures ou pointillés.

 

II- Les qualités d’un bon croquis

 

1°) Il doit être lisible :

- Les principaux phénomènes doivent apparaître au premier coup d’œil ; un bon croquis est clair .

- Le croquis ne doit être ni surchargé ni indigent pour avoir du sens

- Il doit hiérarchiser des espaces et utiliser des procédés graphiques pour l’exprimer : le « tout pastel » est à bannir

- Mon conseil : investissez dans un normographe au moins à partir de la classe de 1ère!

 

2°) Il doit être démonstratif

- Il sert à mettre en valeur, à prouver, à démontrer, en utilisant les procédés graphiques appropriés

- Il faut à la fois décrire le phénomène et aussi l’expliquer par un certain nombre de facteurs à choisir (naturels, historiques, de transports…)

 

3°) Il doit être précis pour ce qui concerne les localisations

- Les localisations doivent être précises, qu’il s’agisse des lieux ou des espaces

- Il faut éviter toute approximation

 

4°) Il doit être esthétique

- Le croquis doit évidemment être propre ; mieux encore il doit être soigné; l'aspect esthétique ne fait pas tout, certes, mais il est extrêmement important pour le correcteur

- Le choix des symboles et surtout des couleurs est donc particulièrement important.

 

III- Les éléments du croquis

N’oubliez jamais « TOLE » : Titre, Orientation, Légende, Echelle

 

Le titre : en haut ou en bas de page.

L’échelle et l’orientation : sont portés sur le fond de carte

La légende : elle doit être structurée

La légende :

- Elle doit être construite avant de réaliser le croquis puisqu’elle en constitue l’architecture

- Elle doit être ordonnée pour répondre à la problématique du sujet, construite et réalisée comme un plan détaillé de dissertation

* Voir fiche dissertation, rubrique plan détaillé. Votre travail au brouillon doit être le même

* Questionner le sujet, en définir le contenu et les limites, dégager 2, 3 grandes idées-forces qui répondent à la problématique posée pour articuler la légende autour d’elle. Structurer aussi chacun des paragraphes en sous paragraphes, le cas échéant.

- Ne JAMAIS réaliser la légende au dos du croquis !!! Le correcteur doit pouvoir regarder les 2 en même temps….attention cette erreur peut faire perdre beaucoup de points !!!

 

La nomenclature : c’est l’ensemble des noms qui figurent sur la carte.

- Il faut renseigner la carte en y portant un certain nombre de noms :

* Noms des pays limitrophes,

* Noms des fleuves, des mers et océans,

* Noms des grandes régions et des villes

- Les noms s’inscrivent très lisiblement et horizontalement à quelques exceptions près :

* Inscrire le nom des fleuves le long de ceux-ci

* Inscrire le nom des régions selon leur forme et leur orientation : si une montagne est méridienne, inscrire son nom verticalement, de bas en haut (Rocheuses, Oural, Alsace…)

- Eviter de surcharger la carte :

* Placer les noms au maximum en dehors de la zone cartographiée (utiliser mers et océans, pays limitrophes…)

* Utiliser des abréviations pour les villes (NY pour New-York ) avec report et explication en légende

- Utiliser l’écriture script

* Ecriture minuscule pour certains phénomènes (les régions par exemple)

* Ecriture majuscule pour d’autres (les villes par exemple)

 

IV- Le langage cartographique

 

1°) Principes à respecter

 

a) La spécificité :

- Représenter des faits de même nature par des figurés de même nature,

- Représenter des faits proches par des figurés proches

 

b) La proportionnalité

- La dimension des symboles ou l’intensité des couleurs doit être proportionnelle à l’importance du phénomène étudié

 

2°) Les types de signes

 

a) Les symboles

1. Les figurés ponctuels

- Pas de symboles figuratifs (donc ne dessinez pas une maison, une église ou des bateaux !)

- Uniquement des symboles géométriques : carrés, cercles, triangles, losanges, barres, demi-cercles

2. Les figurés linéaires

- Les traits de divers types : continus, tirets, pointillés, pour figurer des limites par exemple

- Les flèches, pour figurer les flux

 

b) Les plages ou figurés de surface

- Les phénomènes qualitatifs : s’efforcer d’utiliser des couleurs proches des phénomènes quand c’est possible

* Préférer les jaunes ou orange pour des céréales, le rouge ou le violet pour la vigne et par extension pour les cultures délicates irriguées et intensives, le vert pour les prairies, les cultures fourragères et l’élevage

* Couleurs chaudes pour régions chaudes, couleurs froides pour régions froides

* Teintes tristes pour régions en déclin (gris marron), teintes vives pour les régions dynamiques

- Les phénomènes quantitatifs : variation de l’intensité de la couleur, du clair au foncé en fonction de l’importance du phénomène étudié

* Gamme des teintes chaudes (jaune, orange, rouge, violet)

* Gamme des teintes froides (vert, bleu, violet)

* Dégradé d’une même couleur, du clair au foncé

* Gamme noir et blanc, à partir de pointillés et hachures avec deux méthodes pour foncer : soit rapprocher, densifier les traits ou les points, soit les épaissir, soit les deux simultanément.

 

c) La superposition des couches

- Possibilité de superposer plusieurs couches aux significations différentes

- Exemples :

* superposition d’une couche en hachures au feutre sur une couche en à plats au crayon de couleur

* superposition de symboles sur l’ensemble.


On commence donc toujours par dessiner les figurés de surface avant les figurés ponctuels, ce qui implique donc d’avoir bien réfléchit à sa légende au brouillon avant de se lancer !!!

 

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 18:37

LES ENJEUX DU RECIT DANS L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE


Le récit historique


C’est une production spécifique
:

‐ Le récit historique est fondé sur une problématique. On pose une question, on effectue une mise en intrigue, on dégage une hypothèse initiale. L’historien fait un choix.

‐ Le récit historique s’appuie sur des preuves. On procède à une analyse critique des documents qu’on a préalablement élus au statut de documents. On ne valide ensuite que le vrai, même si ce « vrai » n’est pas absolu, contrairement au récit littéraire qui accueille le vraisemblable ou même l’imaginaire.

‐ Le récit historique est explicatif, argumentatif et interprétatif. On ne fait pas que de « raconter des histoires » même si le récit factuel est possible. Le récit historique rend intelligible des traces du passé ; il reconstruit le passé.

‐ Le récit historique est bardé de références. Références à d’autres historiens, références à des sources, l’historien n’est pas seul.

‐ Le récit historique assume sa part fictionnelle. Quand on reconstruit le passé, il y a des « blancs »… qu’on laisse en blanc ! On peut évoquer en faisant imaginer à condition que ce soit explicite, mais on s’interdit les représentations fausses.

 

C’est une « mise en langage » spécifique :

‐ Le récit historique a une cohérence structurelle. On choisit un découpage chronologique, on élabore une argumentation fondée sur une mise en relation de documents, de notions et de références : tout bavardage est exclu.

‐ Le récit historique utilise un vocabulaire précis et des notions spécifiques. La notion est l’outil intellectuel indispensable pour parvenir à l’abstraction. Le récit est un aller retour incessant entre le concret et l’abstrait, entre le document, la généralisation et la conceptualisation. Pas de récit sans notion ; même en 6ème l’apprentissage de l’abstraction est fondamental.

‐ Le récit historique à ses propres codes d’énonciation. Le texte produit est objectivé et le je disparaît au profit du on ou du nous. Le temps du récit historique est le passé ou le présent historique à condition qu’il ne laisse pas de place au futur.

 

Au collège :

‐ Etre capable de s’exprimer dans une langue correcte.

‐ Etre capable d’utiliser les documents sur le sujet.

‐ Etre capable d’ajouter des connaissances (cours) sur le sujet.

‐ Etre capable de construire un récit historiquement cohérent.

 

Au lycée :

‐ Etre capable de présenter la problématique dans une phrase introductive.

‐ Etre capable de structurer le récit à partir de quelques idées force dégagées de l’ensemble documentaire.

‐ Etre capable de construire un texte démonstratif et argumentatif (alternance documents/éléments du cours/notions/dates…)

‐ Etre capable de conclure par une phrase de synthèse (et d’ouverture)

‐ Etre capable d’utiliser un vocabulaire spécifique et notionnel.

‐ Etre capable de respecter les codes de la narration historique.

 
source: académie de Versailles

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 17:32

Développer l'idée

Préciser et illustrer

Introduire les conséquences

Indiquer les causes

Opposer à l'idée

Conclure

Aussi -
d'autre part -
de même - de plus
également -
encore, en outre -
quant à -
par ailleurs -
puis - ensuite
- et

Ainsi

c'est-à-dire

notamment

par exemple

Conseil : ne pas hésiter à placer des exemples courts en rapport avec le sujet

ainsi

aussi

c'est pourquoi

dés lors

donc

en conséquence

car

parce que

puisque

 

Conseil : ces mots peuvent aussi servir à apporter des preuves

Cependant

mais

néanmoins

pourtant

toutefois

 

Conseil de l'Académie française: ne pas dire «par contre» mais dire «en revanche».

ainsi

donc

en bref

en définitive

en résumé

finalement

pour conclure


Cette liste n'est pas exhaustive et peut être complétée avec votre professeur(e) de français par exemple.
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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 16:46
Petit dictionnaire de la documentation française de la collection Problèmes économiques

Cliquez ICI
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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 13:44
Testez vos conaissances sur les principaux personnages à connaitre pour le DNB (surtout du programme de 3è).
Si vous ne connaissez pas certaisn d'entre eux, il est temps de faire de petites fiches bibliographiques!

Cliquez ICI
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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 21:05
La Blitzkrieg ou guerre-éclair est la façon dont l'armée allemande (la Wehrmacht) fait la guerre.
C'est une guerre basée sur l'offensive, la rapidité et qui s'appuie sur l'aviation et les blindés et les troupes motorisées (les Panzerdivisionen).

Voici un schéma pour vous aider à comprendre quelles sont les étapes de la guerre-éclair.
guerre eclair

De leurs côtés le Royaume-Uni et la France choisissent de mener une guerre défensive, (sauf en Norvège à Narvik où les troupes britannique et françaises tentent une opération de diversion pour couper l'approvisionnement de Allemagne du fer suedois). On appellera cette guerre "la drôle de guerre". 

Grâce à cette stragtégie les Allemands se rendent rapidement maitre d'une grande partie de l'Europe.
En 1942 l'Allemagne est à son apogée.

- La Pologne est envahie le 1er seprembre 1939, elle doit capituler en quelques semaines. Elle est partagée entre l'Allemagne et l'URSS (en vertue du pacte germano-soviétique).
- En Avril-Mai 1940 les Allemands envahissent le Danemark puis la Norvège (en riposte de l'attaque franco-britannique de Norvège).
- A partir du 10 Mai 1940 l'Allemagne lance une grande offensive contre les Pays-Bas, la Belgique puis la France.

La France se croyait protégée derrière sa ligne Maginot qui s’étendait de la frontière suisse à Montmédy, l'armée se préparait à une guerre défensive de position.
Pendant des longs mois d’attente l’armée française entretenait son moral en chantant « On ira pendre notre linge sur la ligne Siegfried », du nom d'une ligne de fortifications allemandes, réputées infranchissables.

 

 

 
Vue en coupe de la ligne Maginot

Carte ligne Maginot et ligne Siegrfried


                                                                                                                                    carte A. Houot

Mais les Allemands franchissent les frontières par les Ardennes en contournant la ligne Maginot et passent en France à Sedan.

Le gouvernement français chute et le maréchal Pétain (nouveu chef du gouvernement) demande l'armistice le 17 Juin 1940 qui est signé le 22 Juin.

invasion france 40



L’Alsace et la Lorraine sont annexées au Reich.
La France est partagée en deux zones : La partie nord (dont Paris) passe sous domination allemande, c’est la zone occupée.
Le reste du pays est déclaré zone « libre ». Le siège du gouvernement français y est transféré, à Vichy.





































L'Allemagne nazie pille les pays occupés. Voici une carte d'Alain Houot qui permet de mieux comprendre les provenances de l'approvisionnement allemand en 42 (je rappelle que c'est l'année de l'apogée de l'Axe !)



Un dessin animé de propagande américaine pour sensibiliser la population à la guerre
Blitz Wolf de Tex Avery Aout 1942 
Voir rubrique "histoire des arts 3e" ou cliquez ICI
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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 17:38

Comme je vous l'avais proposé en classe voici une proposition de découpage de votre temps au moments du brevet pour être sûr d'avoir le temps de traiter l'intégralité du devoir!!!


- Avant toute chose vous devez veiller à bien avoir TOUT votre materiel (stylo, cartouches, effaceur ou blanco, crayons de couleur, feutres etc.).
Vous n'avez pas le droit de vous préter de materiel pendant l'épreuve donc soyiez vigilants la veille en préparant votre sac!

- Deuxième élément: Pensez à PRENDRE UNE MONTRE (le portable est interdit, même comme montre), en effet comment savoir le temps dont vous disposez si vous n'avez rien pour le mesurer!!!? Sachez que toutes les salles d'examens n'ont pas d'horloge et que bien souvent elles ne sont pas à l'heure! 

L’épreuve du brevet dure deux heures.

Ce temps est court il faut donc bien le gérer, et c'est comme le reste, ça s'apprend!

Découpage de ces 2 heures:

 - 10 minutes : Lecture de tous les sujets et choix entre les deux sujets de la première partie (histoire ou géographie, ou histoire et histoire, ou géo et géo). On ne se lance jamais dans un devoir sans avoir lu l'intégralité du devoir et des questions.
Attention il ne faudra choisir qu'un seul sujet sur les 2 proposés.

- 50 minutes : Première partie (ne traiter qu'un seul sujet !) : Histoire-Géographie

- 45 minutes : Deuxième partie (un seul sujet, obligatoire bien sûr) : Education civique

- 10 minutes : Troisième partie (obligatoire): Repérages dans le temps et dans l’espace (les fameusx repères).

- 5 dernières minutes : Relecture obligatoire, afin de corriger ses fautes. Il est impératif de garder ces 5 minutes à la fin, ce n'est pas une perte de temps mais un gain de points potentiel!

Ce découpage n'est qu'une proposition, mais il est essentiel d'être organisé pour ne pas se laisser "avoir"... 2 heures ça passe très vite.

Découpage de la première partie d'histoire ou géo:

Ci-dessus, je vous propose dans mon découpage 50 min pour faire le devoir, il ne faut donc pas trainer, et là encore, bien découper son temps.

Vous devez prendre le temps de faire un brouillon pour mettre toutes les idées que vous inspire le sujet.
Attention, il n'est pas question de tout écrire au brouillon vous n'aurez pas le temps de tout recopier!
Le brouillon sert à mettre ses idées en ordre, à les classer, pour ne pas parler de tout n'importe où dans le paragraphe.
Avant toute chose il faut bien reflechir au sujet posé et le "décortiquer" au brouillon. De quoi faut-il parler et de quoi ne faut-il PAS parler pour ne pas être hors-sujet (même si on sait pleins de choses et qu'on veut le montrer au correcteur!).
Délimiter les bornes chronologiques, jusqu'où faut-il aller ou ne pas aller pour rester dans le sujet et rien que le sujet.

Quoiqu'il en soit, vous devez passer à la rédaction du paragraphe argumenté dans les 20 dernières minutes des 50 minutes proposées précédement.
Pas plus tard sans quoi vous n'aurez pas le temps d'écrire lisiblement 20 lignes minimum.

Si on récapitule tout: 10 minutes de lectures des sujets, 30 minutes pour répondre aux questions des documents et mettre ses grandes idées au brouillon, puis démarrage de la rédaction du paragraphe argumenté.
Vous devez donc commencer la rédaction du paragraphe environ 40 minutes après le démarrage de l'épreuve!
Vous allez voir, ça passe très vite!

Pour le paragraphe en lui même allez voir dans la rubrique methodologie l'article consacré à la méthode (grille d'auto-évaluation).

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 17:28
Voici un exercice un peu facile mais qui à l'avantage de reprendre tous les repères géo de la 6è à la 3è.
Bon courage et surtout bon entrainement!

cliquez ICI

Je vous rappelle que pour vous entrainer à fire des cartes j'ai mis le lien de la cartothèque (fonds de carte) dans la rubrique "liens utiles".
A vos crayons de couleurs!
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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 19:20
 
cliquez sur l'image pour pouvoir jouer
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 19:04
Nous avons étudié en casse l'Acropole d'Athènes et plus spécialement le Parthénon (voir aticle dans la rubrique Histoire 6è). réalisé par le sculpteur PHIDIAS

La frise des Panathénées vient de ce temple dorique dédié à la déesse poliade Athéna (déesse protectrice de la cité des Athéniens).
Sur le plan ci-dessous voyez la procession des grandes Panathénées qui avaient lieu tous les 4 ans en l'honneur de la déesse Athéna.

La frise était longue de 160 mètres et haute de seulement 1 métre. Elle était fixée à 12 mètre de haut autour de la cella.
Les sculptures avaient un releif d'environ 6,5 cm.
Cette frise est en grande partie conservée au British Museum de Londres.
Les cavaliers
Les cavaliers

Frise des Panathénées

La frise des Panathénées





Sur l'Acropole on peut aussi admirer (entre autre) le temple de l'Erechtéion et ses magnifiques caryatides.
Une caryatide est une statue de femme souvent vêtue d'une longue tunique, soutenant un entablement sur sa tête, remplaçant ainsi une colonne, un pilier ou un pilastre.

On appelle entablement :

  • la partie appuyée par une colonnade qui est sise entre le chapiteau et la corniche ;
  • le bandeau très important couronnant une façade soit directement sous les combles, soit avant le retrait du dernier étage (attique) ;
  • la partie supérieure de l'ordre antique comprenant : l'architrave, la frise et la corniche.
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